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Yǎngshēng : nourrir la vie

Yǎngshēng : nourrir la vie

Des techniques pour préserver la santé

« Nourrir  la vie » c’est la traduction littérale de Yǎngshēng, cette branche méconnue de la Médecine traditionnelle chinoise (MTC). Pourtant Yǎngshēng y tient une place essentielle. C’est un ensemble de méthodes et recommandations pour préserver la santé et augmenter la longévité.

Car cultiver la santé est le but premier de la MTC qui considère la santé et non la maladie. De fait, Yǎngshēng est aujourd’hui encore enseigné dans les Ecoles de médecine chinoise. Le Su Wen dit : «Attendre d’être malade avant de se soigner, c’est comme attendre d’avoir soif avant de creuser un puits, ou attendre que la guerre soit déclarée pour forger les armes. N’est ce pas bien tard? »

Vivre en harmonie avec son environnement

« Nourrir la vie. » L’expression en elle-même est inspirante ! Elle nous invite à nous rapprocher de la Nature et à en respecter les rythmes et règles. Comprendre l’essence de Yǎngshēng nous éclaire sur comment transformer notre quotidien pour vivre en meilleure santé… et plus heureux.

C’est à la portée de chacun a condition de faire le premier pas ! Cela peut commencer par réduire sa consommation de sucre et d’alcool, se mettre à pratiquer un art, ou une activité comme l’escalade, la boxe, la danse, la méditation, passer du temps dans la nature… la liste est infinie. Explorons donc les pistes que nous propose Yǎngshēng.

La santé résulte de l’équilibre et de l’harmonie. L’homme ne peut être en bonne santé que s’il vit en harmonie avec son environnement, et dans le respect des cycles de la Nature. Cela inclut d’aller dans le sens naturel de la vie, ou en d’autres termes « dans le sens du courant ».

Qui dit harmonie dit modération. Yǎngshēng recommande ainsi de bannir les excès dans tous les domaines de la vie : nourriture, sexualité, émotions etc.

Un excès d’activité peut être aussi nuisible qu’un excès de sédentarité. L’harmonie, et donc la santé, se trouve dans un juste équilibre.

La recherche de l’équilibre

Yǎngshēng propose des techniques qui couvrent tous les âges de la vie, de la naissance à la mort. Cela inclut :

  • Améliorer sa diète
  • Faire du sport régulièrement
  • Pratiquer un art
  • Gérer son repos
  • Améliorer qualitativement sa vie sexuelle
  • Méditer

En effet, quand l’esprit est calme et clair, la maladie ne peut pas entrer. « Un homme en paix ne tombera pas malade » dit un vieux dicton chinois.
 

Yǎngshēng accorde une importance particulière à l’adaptation aux saisons. Par exemple, au printemps, il est recommandé de se lever plus tôt, quand les jours sont plus longs, et de faire davantage d’exercice au lever. A l’opposé, l’on devrait passer plus de temps à dormir en hiver, quand les nuits sont plus longues. Cette adaptation aux saisons inclut bien-entendu la diète. Au printemps, qui correspond en médecine chinoise à l’organe du foie, l’on devrait favoriser les aliments qui soutiennent le foie, voire pratiquer des jeûnes.

Respirer

La respiration est à la source de la vie. Elle commence avec le premier cri du nouveau né s’arrête avec le dernier souffle. Or, si le bébé respire naturellement en gonflant le ventre, en grandissant , il limite sa respiration du nez jusqu’au niveau du diaphragme !

Or une respiration ample et profonde est essentielle à la vie. Plus nous respirons consciemment, plus nous bénéficions des bienfaits de la respiration. Le simple fait de respirer pleinement nous permet d’être plus détendu, de mieux nourrir nos organes, et de vivre plus sereinement nos émotions. Des techniques comme le Prānāyāma aident à développer une respiration pleine et consciente.

Bien se nourrir

cuisine santé

Comme pour le philosophe et médecin grec Hippocrate, la diététique est la première des disciplines de la médecine chinoise.

On ne peut espérer être en bonne santé si l’on mange les produits transformés offerts par l’industrie agro-alimentaire. Au Cambodge, par exemple, l’apport massif de sucre blanc et de glutamate dans la nourriture est rentrée dans les mœurs, et tue des millier de personnes tout simplement !

Il faut donc privilégier les produits non raffinés, limiter la consommation de viande, et consommer davantage de fruits et légumes et moins de féculents.

Il convient de choisir des produits de saison, fraîchement récoltés, et qui ont poussé naturellement. Enfin, il est important de les préparer avec amour… et de les consommer tranquilement avec plaisir !

Contrôler le corps et l’esprit

La vie, c’est le mouvement, selon la philosophie taoïste. L’exercice physique est donc préconisé. Il doit être adapté à l’âge, et à la saison. La pratique du Qi gong est l’une des voies royales pour cultiver l’esprit et le corps, avec le tàijíquán, la méditation, le yoga etc.

Le Qi gong consiste en une série de postures et de mouvements lents qui permettent d’assouplir les articulations et de restaurer un flux harmonieux de qì – ou énergie vitale – dans l’ensemble du corps. La pratique régulière du qi gong permet d’accroître ce qì et d’en maitriser la circulation. Le qi gong est basé sur la respiration consciente, la relaxation, la posture, et la visualisation. Il est en soi une pratique d’auto-traitement extrêmement puissante. Il permet de calmer l’esprit et de mieux réguler nos émotions.

En effet les désordres émotionnels, le stress, sont des facteurs majeurs de maladie, tout particulièrement dans notre monde contemporain qui a rompu cette harmonie avec la Nature. Or Yǎngshēng préconise de prendre soin de nos pensées et de nos émotions. Cela nous permet de cultiver des relations harmonieuses avec nos semblables, condition essentielle à la santé, à la longévité… et au bonheur !

Des bénéfices d’une valeur inestimable

Couple heureux

N’attendez pas pour pratiquer le Yǎngshēng et jouir de ses bienfaits :

  • Une meilleure immunité, donc une meilleure santé
  • Une confiance en soi accrue
  • Une augmentation de la créativité
  • Un meilleur équilibre émotionnel
  • Un esprit plus clair
  • Plus de vitalité
  • Plus de joie de vivre

Vous pouvez d’ores et déjà commencer par les trois points suivants :

1. Faire 3 fois par semaine au minimum une heure d’exercices dont des exercices cardio
2. Eliminer le sucre (l’alcool), réduire le sel, remplacer les snacks par des fruits
3. Dormir au minimum six heures entre 22 :00 et 6 :00, heures qui permettent une récupération optimale.

Le diabète selon la MTC

Le diabète selon la MTC

Les solutions de la Médecine chinoise

 

Le diabète connait dans le monde entier une croissance alarmante. Un rapport de l’OMS dénombre 422 millions d’adultes diabétiques dans le monde en 2014 contre 108 millions en 1980. Le Cambodge n’y fait pas exception, avec 230,000 cas recensés en 2015. Dans certaines régions le taux de diabétiques atteint jusqu’à 10 %.

Comment expliquer un tel phénomène ? Les facteurs de risque sont liés essentiellement à une mauvaise hygiène de vie : sédentarité, manque d’activité physique, excès d’aliments raffinés, surconsommation de sucre en particulier, d’alcool, sans compter des facteurs émotionnels liés à un mode de vie trop stressant.

10 cuillères de sucre dans un soda

Femme devant gâteaux

Au Cambodge, la consommation de sucre a pris des proportions alarmantes : multiplication des sodas bourrés de sucre, usage omniprésent de sucre blanc dans la cuisine, de lait condensé sucré dans les cafés et boissons diverses. 

Boire une canette de soda revient à manger 10 cuillères à café de sucre !

Il est cependant réjouissant de voir que de plus en plus de Khmers prennent conscience des dégats causés par le sucre.

En effet, le corps est fait pour assimiler les sucres présents naturellement dans les aliments et n’a pas besoin de sucre supplémentaire. Donc tout autre apport de sucre va générer des déséquilibres dans le fonctionnement global de notre corps.

Le diabète n’est pas une fatalité

Mais le diabète n’est pas une fatalité ! Si certains présentent une prédisposition liée à un terrain génétique, la plupart des diabétiques de type II peuvent faire reculer leur maladie, voire la guérir, en revoyant leur hygiène de vie, leur diète, en pratiquant un sport, et en respectant les rythmes travail – repos. Et les diabétiques de type I peuvent aussi améliorer leur condition.

Une étude clinique menée par l’Université de Newcastle et publiée dans Cell Metabolism a démontré qu’une perte de poids importante chez des patients diabétiques de type II dès le diagnostic permettait de restaurer la production d’insuline générant ainsi la guérison.

Une observation plus fine leur a montré que cette perte de poids engendre une reprogrammation des cellules pancréatiques qui retrouvent ainsi leur fonctionnement normal. Ils ont donc prouvé que l’on pouvait guérir du diabète, contrairement aux idées reçues.

Xiāo Kè ou le syndrome de la soif inutile

Le diabète est connu et traité depuis plus de 2000 ans par la Médecine traditionnelle chinoise (MTC). En chinois, le diabète, Xiāo Kè ou « syndrome de la soif inutile » est identifié comme une dysharmonie globale; elle-même liée à une carence en yin.

Pour éviter Xiāo Kè il faut notamment s’abstenir de :

  • boire de l’alcool
  • manger du sucre, ou des aliments ou boissons avec sucre ajouté
  • manger des aliments trop gras (fritures)

Et surtout il faut bouger ! La pratique d’exercice physique régulier et intensif est primordiale pour éviter le diabète.

Acupuncture et pharmacopée

La MTC ne mesure pas le taux de glucose dans le sang. Elle applique un traitement personnalisé pour chaque patient après un  diagnostic complet. Tout d’abord la palpation du pouls chinois, l’interrogatoire, l’observation et la palpation du corps…

Le patient est traité par l’acupuncture, et la pharmacopée chinoise. Ce traitement permet progressivement de rétablir l’équilibre énergétique dans le corps, permettant aux organes de retrouver leur fonctionnement naturel, et donc sain.

Plus le patient accepte de revoir son régime alimentaire et son mode de vie, plus il a de chances de guérir.

Le médecin chinois pourra notamment lui recommander la pratique du qi gongdont le bénéfice sur la santé n’est plus à prouver.

Pouls chinois

Le diabète n’est donc pas irrémédiable. Mais mieux vaut encore suivre le précepte de ce grand médecin chinois du 13ème siècle, Zhu Zhenheng : « Entretenir la santé vaut mieux que de traiter la maladie. »

L’action du qi gong sur le diabète

Le Qi gong est pratiqué depuis plus de 2000 ans en Chine, notamment pour ses effets thérapeutiques. Cette discipline – pratiquée régulièrement – a un effet bénéfique et régulateur sur l’ensemble du métabolisme. Les personnes atteintes de diabète ont donc tout intérêt à le pratiquer.

Dans un article paru en 1984, le docteur Zhan Ke Fu, raconte sa propre expérience. Diabétique, ayant recours à l’insuline, il décide de se mettre à la pratique du Tai Ji Qi gong. Après 15 jours de pratique assidue, il arrête l’insuline. Trois mois plus tard, sa glycémie et sa glycosurie sont revenus à la normale.

Cinq autres patients participent à une étude expérimentale, pratiquant le Tiao Xi Bu Gong, un autre style de qi gong, tous les jours pendant trois heures. Après trois mois, les résultats sont tels que les cinq peuvent arrêter tous leurs médicaments hypoglycémiants ou leur insuline. Lors d’un contrôle six mois plus tard, la glycémie de ces patients est restée normale.

Cours de Qi gong à Essence of health

Marieva Gruffat

Marieva Gruffat

Passionnée d’ostéopathie

Mariéva Gruffat a grandi dans un environnement centré sur le respect de l’être humain et son interaction avec la nature. Elle apprend très tôt à regarder et à écouter avec sa mère, professeur d’horticulture. Avec son père, directeur d’une coopérative de produits biologiques, elle développe son sens des énergies vitales.

En grandissant, « aider les gens » devient de plus en plus évident pour Mariéva. Elle choisit donc de passer un baccalauréat dans le secteur social, qu’elle complète par une formation en psychologie. Elle comprend l’influence des émotions sur le comportement, la posture, et parfois même la douleur. Elle cherche alors un modèle de soins qui relie le corps et l’esprit.

Les médecines holistiques lui semblent les plus appropriées car elles respectent l’intégrité du patient par l’utilisation de méthodes naturelles. Elle choisit donc l’ostéopathie, une thérapie qui lui permet d’utiliser ses mains déjà pleines d’énergie vitale. Quand elle était petite, sa mère lui disait déjà qu’elle avait des doigts de fée.

Formation à l’Académie Andrew Taylor Still à Lyon

C’est à Lyon (France) que Marius Gruffat étudie dans une école d’ostéopathie, l’Andrew Taylor Still Academy, où l’accent est mis sur l’aspect humaniste de l’ostéopathie et un suivi individuel des étudiants. Une grande aventure commence alors pour elle ! Elle apprend dès la première année à développer la sensibilité de ses mains par l’écoute et le toucher. Petit à petit, elle se familiarise avec les différentes théories de l’être humain et du cosmos.

Elle perfectionne ses techniques et se lance dans diverses expériences cliniques à l’intérieur et à l’extérieur de l’école. Par exemple, elle participe à des manifestations sportives avec des kinésithérapeutes ; elle suit également pendant plusieurs mois une classe du Conservatoire de Musique de Lyon, au sein d’une équipe de plusieurs ostéopathes.

La passion de son métier l’emmène au Sénégal pour une mission humanitaire où elle rencontre d’autres ostéopathes, qui lui font découvrir d’autres techniques qui élargissent son champ d’action.

Travail d’équipe

A 26 ans, elle choisit de poursuivre son parcours au Cambodge.  » La pratique de l’ostéopathie au Cambodge est pour moi un moyen d’allier ma passion et la découverte d’autres cultures «  explique Mariéva qui aime allier voyage et travail.

 » En tant qu’étudiante en ostéopathie, j’avais pour projet de travailler en équipe « , explique Mariéva qui voit aujourd’hui ce projet se concrétiser avec la collaboration au sein d’Essence de santé. Il existe de nombreuses similitudes entre la médecine chinoise et l’ostéopathie. Toutes deux sont des thérapies holistiques visant à rétablir l’équilibre et à redonner au corps ses capacités d’autoguérison et de pleine santé.

Qu’est-ce que l’ostéopathie ?

Séance d'osteopathie

L’ostéopathie est une approche thérapeutique qui aide le corps à retrouver ses capacités d’adaptation et sa pleine mobilité en agissant sur les tissus (muscles, tendons, os, ligaments, artères…) dont l’équilibre a été perturbé par des accidents, des traumatismes physiques ou psychologiques.

Le champ d’action de l’ostéopathie est très large. Elle peut traiter à la fois les douleurs lombaires, cervicales et sciatiques. Mais aussi les troubles digestifs comme la constipation chronique ; les troubles du sommeil, l’anxiété, les migraines ou les sinusites. Et bien d’autres encore….

Chez le sportif, le musicien ou le chanteur, un suivi régulier permet de prévenir l’apparition de blessures et de soulager certaines douleurs. L’ostéopathie est particulièrement intéressante pour le traitement des femmes pendant la grossesse, après l’accouchement, et pour leurs nourrissons.

Différentes techniques peuvent être utilisées en fonction des besoins différenciés de chacun « Je privilégie toujours un traitement à l’écoute du patient et en techniques tissulaires ou plus communément appelées techniques douces sans craquement » explique Mariéva Gruffat.

Danger pour les reins !

Danger pour les reins !

De nombreux médicaments sont néfastes pour les reins

Les reins, entre autres organes, peuvent être endommagés par la prise de médicaments chimiques, qui peuvent provoquer de nombreux effets secondaires. Dans près de 10% des insuffisances rénales aiguës, il y a eu prise de medicaments.

Les fonctions rénales d’élimination des toxines du sang, et de régulation de  l’équilibre acido-basique du corps deviennent brutalement défaillantes. Il en résulte de la rétention d’eau avec risque d’œdème aux poumons, voire dans les cas extrêmes une urémie, L’urée est retenue dans le sang. Une urémie élevée peut être mortelle.

La médecine traditionnelle chinoise nous invite a reconsidérer notre hygiène de vie et à rechercher des traitements naturels au lieu de prendre des risques importants d’intoxication. Les médicaments chimiques ne traitent pas la cause. Ils améliorent peut-être rapidement notre état, diminuent nos douleurs, mais en aucun cas ne traiteront la cause de nos maux.

Vous trouverez ci-dessous une liste non exhaustive de médicaments pouvant générer des effets secondaires nocifs pour les reins. D’une façon générale, il est prudent de limiter leur utilisation sur la durée, voire de les éviter si possible en privilégiant des traitements 100 % naturels.

  • Les analgésiques et anti-inflammatoires non-stéroïdiens :

l’ibuprofène, naproxène, acéclofénac, acétaminophène …

  • Les antirhumatismaux :

l’infliximab (Remicade), la chloroquine et l’hydroxychloroquine, le lithium

  • Les antibiotiques :

la méthicilline, ciprofloxacine, vancomycine, les sulfamides.

  • Les anticonvulsivants :

La phénytoïne (Dilantin) et la trimethadione (Tridione) utilisés dans le traitement des crises convulsives.

  • Les antiviraux :

L’acyclovir (Zovirax) utilisé dans le traitement de l’herpès, l’indinavir et le ténofovir utilisés pour traiter le VIH.

  • Les antihypertenseurs :

Le captopril (Capoten).

  • Les traitements de chimiothérapie à base de :

Interférons, pamidronate, cisplatine, carboplatine, cyclosporine, tacrolimus, quinine, mitomycine C, bevacizumab…Le propylthiouracile

  • Les antithyroïdiens :

Le propylthiouracile

Les huit causes de surpoids

Les huit causes de surpoids

Les origines du surpoids selon la MTC

Selon le taoïsme – science de la vie et philosophie  à la base de la médecine chinoise – il n’y a pas de différence entre un excès ou une insuffisance de poids. Les deux reflètent un déséquilibre. Chaque être humain possède son propre poids d’équilibre relatif à sa taille, à sa morphologie, ainsi qu’à d’autres facteurs. En dessus ou en dessous de ce poids il y a déséquilibre.

Mais il est tout à fait possible de vivre dans cette société moderne, de jouir des avantages qu’elle procure sans excès, si l’on sait quelles sont les causes des désordres de poids et comment les enrayer.

1. L’auto-empoisonnement

Un  déséquilibre acido-basique (PH) dans la nourriture peut générer une putréfaction des aliments dans l’estomac avant même que le corps ait pu en digérer et en absorber les nutriments. C’est tout bénéfice pour les organismes nuisibles qui auront fait un festin avant que nous ayons nourri nos cellules. Ils ne nous laisseront que les déchets.

Nous comprenons ce qui s’est passé en sentant notre mauvaise haleine, en observant des éructations, flatulences ou douleurs d’estomac.

Résultat : nos cellules ne sont pas assez nourries et perdent de leur vitalité. Qui plus est les résidus toxiques ne peuvent s’éliminer et ils intoxiquent les cellules. Un corps dévitalisé cherche le repos (non mouvement). Nous allons chercher de l’énergie en mangeant encore et encore pour compenser la carence de vie (QI ou informations quantiques) du bol alimentaire.

2. La rétention d’eau

Les reins sont les filtres qui séparent l’eau résiduelle du sang. La quantité d’eau filtrée dépend donc de la qualité de fonctionnement de nos reins. Des reins normaux peuvent filtrer approximativement un litre et demi de liquide par 24 heures. Le potentiel de filtrage des reins est proportionnel à leur capacité.

Dépasser cette dose moyenne obligera le corps à éliminer par la transpiration… si l’on fait assez d’exercice.  Sinon l’eau sera retenue dans les tissus du corps.

Les tissus d’une zone gonflent pour recevoir le nouvel apport et seule une infime partie d’eau sera évacuée par la transpiration. L’eau «stagnante» reste et reçoit encore davantage de déchets. Cette eau résiduelle, proche de l’urine, peut stagner très longtemps en se transformant petit à petit en mucus. Ce mucus ou eau résiduelle plus solide, laisse à penser qu’il y a de la graisse superflue. Cette gélatine continue de durcir et devient cellulite.

Or, la cellulite ne s’élimine pas en faisant de l’exercice. La seule manière de, s’y prendre est de :

  1. boire moins, en limitant l’apport quotidien à moins d’un litre et demi,
  2. manipuler les dépôts de cellulite, de préférence en sauna ou bain de vapeur pour dilater les pores et favoriser la sudation,
  3. effectuer des massages intensifs chauffants pour briser les dépôts.

Attention : on compte dans l’apport journalier (1,5l) l’eau contenue dans l’ensemble des aliments ingérés sur une journée.

Si le corps a de la cellulite, il est certain que les reins ne fonctionnent pas correctement On repère la cellulite en examinant les zones situées autour des fesses, des cuisses, du ventre et du haut des bras.

Ne manger que des salades, des soupes et boire des jus de fruits peut être un leurre dans une recherche de perte de poids si nos reins ne peuvent filtrer correctement la totalité de l’apport en eau.

3. L’accumulation adipeuse

Les graisses sont en relation avec les fonctions hépatique, biliaire et pancréatique. Les poisons et les toxines se présentant sous forme solide dans notre corps ont besoin d’être lubrifiés par des graisses pour être éliminés.

Une quantité de graisse excessive ou difficilement décomposable va se fixer sur les tissus hépatiques, bloquant en partie le fonctionnement normal du foie. Ce blocage partiel fait que davantage de déchets ne peuvent être filtrés et éliminés. Résultat : le flux sanguin qui irrigue notre cerveau intoxique les cellules de ce dernier entraînant des désordres que nous appelons des troubles nerveux et mentaux, qui ne sont que quelques-uns des nombreux effets pernicieux dus à un médiocre fonctionnement hépatique.

Les graisses peuvent également s’accumuler dans d’autres parties du corps moins soumises à l’exercice, comme le ventre et les hanches. Lorsque cela se produit, la respiration devient plus pénible, pouvant se faire courte et rapide. Cela affecte également le cœur, provoquant des palpitations (battements rapides et irréguliers),  voire de la fibrillation (contraction inégale du cœur).

Tous ces problèmes sont causés par l’accumulation adipeuse. Puisque nous avons besoin de graisses dans notre régime alimentaire, quel est le type de graisses que nous devrions manger?

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4. La nervosité liée à la culpabilité

Une personne manquant de dynamisme s’assied pour penser aux choses qu’elle doit faire. Elle ne les fait pas, bien évidement. Elle se sent alors coupable de n’avoir pas entrepris ce qu’elle pensait vouloir faire ; devient alors plus nerveuse ; réduit ses activités physique et mange pour oublier sa culpabilité liée à sa frustration.

Cercle vicieux vers la prise de poids excessive… Plus elle se sent mal, plus elle mange et plus il lui est difficile d’entreprendre quoi que ce soit et elle se sent donc encore plus mal etc…

5. L’insatisfaction sexuelle

Une femme non comblée sexuellement devient nerveuse. Mais que fait l’homme dans ce domaine alors !..  Il lui incombe de l’accompagner dans ce voyage « interplanétaire » jusqu’à leur retour « à la maison ».

  1. Il suscite ses émotions donc son désir sexuel et enflamme leur vaisseau spatial
  2. Puis prépare le lancement : c’est le plaisir
  3. Et… vient le lancement, le voyage dans l’espace. C’est l’orgasme
  4. Puis le lent retour sur terre, la douce traversée des nuages qui se dissipent pour se déposer ensemble sous la couette. C’est le moment de la tendresse partagée

Mais dans la réalité la plupart des hommes ne font connaître à leur partenaire que le deuxième stade. La femme bloquée à mi-chemin entre la terre et le ciel ne peut atteindre les deux derniers stades même par la masturbation. Elle s’endort alors insatisfaite et frustrée voire nerveuse.

Elle entame alors une nuit agitée. Au matin, elle sera directement ou indirectement en colère contre son mari… Irritation des deux amants jusqu’au soir et peut-être aussi les jours suivants. Elle pourra compenser sa nervosité en mangeant jusqu’au déséquilibre de poids.

6. L’excès de nourriture et de boisson

Pour beaucoup de personne il s’agit là de mauvaises habitudes alimentaires. Des conditionnements sociaux voire des manifestations névrotiques. Cela se traite en séance de déprogrammation des comportements et par l’acupuncture.

7. Les dysfonctionnements physiologiques

En médecine chinoise, avant de tenter quoi que ce soit pour maigrir, nous traitons d’abord les troubles liés à des déséquilibres énergétiques.

8. Les effets secondaires des médicaments

L’obésité peut être un effet secondaire de certains médicaments. Les médicaments acides engendrent une sensation de faim. Donc augmentation de nourriture. Les médicaments comme la cortisone ravagent les reins et d’autres organes. Si les reins ont un fonctionnement au ralenti il y a la plupart du temps encore une fois rétention d’eau ; le processus de prise de poids est a nouveau engagé.

L’impact du surpoids sur la santé

 
femme qui dort

L’excès de poids peut engendrer de nombreuses répercussions sur l’état de santé global.

Chaque centimètre de tissu adipeux en excès oblige le corps à créer un réseau de vaisseaux sanguins supplémentaires pour alimenter ce tissu, obligeant le cœur à travailler davantage. Lorsque le cœur est surchargé de travail, il perd de sa souplesse. Au fur et à mesure qu’il se détériore, il devient plus sensible aux germes, virus, bactéries et autres organismes qui peuvent l’attaquer.

Lorsque survient une crise cardiaque, elle provoque la mort d’une zone du tissu cardiaque qui ne peut plus fonctionner par la suite. Une deuxième attaque va léser une autre région du cœur. Cela accroît l’effort que doivent produire les parties encore saines de l’organe, qui doit travailler plus durement pour maintenir l’activité du système circulatoire.

Heureusement, la médecine chinoise sait régénérer ces cellules mortes. Les calculs biliaires sont une autre conséquence de l’obésité. Composés de graisse dure et desséchée, ils sont très difficiles à dissoudre. Un pancréas fragile, affaibli par l’obésité, amène souvent à l’hypoglycémie ou au diabèt