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La sagesse alimentaire

La sagesse alimentaire

Principes universels pour une alimentation saine

Si l’on observe la façon dont les différents peuples s’alimentent à travers le monde, on retrouve une sagesse alimentaire qui transcende les différences socioculturelles.

Les facteurs liés au terroir, au climat, et à la culture de chaque peuple influencent leur façon de se nourrir et de préparer leurs aliments. Tout d’abord, l’individu a tendance naturellement à aimer ce que sa mère lui donnait à manger durant sa petite enfance.

L’environnement joue un rôle également. Les peuples vivant en bord de mer vont consommer davantage de fruits de mer. Ceux qui vivant de l’élevage animal consommeront naturellement plus de viande.

Cependant, tous les peuples du monde ont toujours consommé des céréales, des racines, des légumineuses, des légumes, et des fruits.

 

Collecte du riz

Des pratiques ancestrales universelles

On retrouve aussi à travers le monde des constantes dans la préparation de certains aliments afin de les conserver : salage, séchage, fumage. De même le lait est fréquemment consommé tourné ou caillé. Ceci vise notamment à réduire la contamination bactérienne et à améliorer sa qualité nutritionnelle.

Il en est de même pour la lactofermentation de légumes. Celle-ci permet là encore de les conserver tout en augmentant leur valeur nutritionnelle. Ce procédé revient d’ailleurs à la mode à ce jour.

Les feuilles vertes sont consommées largement de par le monde, qu’il s’agisse de l’amarante, des feuilles de citrouille, de patate douce et de manioc, ou de salades sauvages comme le pissenlit, les laitues etc. Ces feuilles sont riches en bêtacarotène, en vitamine C (acide ascorbique), en fer et en calcium. Or les peuples ont toujours naturellement consommé des aliments bénéfiques à leur santé, comme le font les animaux.

De même la germination des graines de légumineuses est une pratique ancestrale. Ellei permet d’augmenter leur biodisponibilité et donc l’absorption par l’organisme des nutriments tels que le fer, le zinc, le magnésium, ou encore certains acides aminés. Cette pratique redevient également très populaire chez ceux qui recherchent une alimentation saine.

La tradition à l’épreuve de l’agro-alimentaire

 

Les régimes alimentaires traditionnels de la plupart des sociétés des pays dit « pauvres » sont de bons régimes. On y trouve de nombreux aliments riches en protéines : insectes, serpents, singes, chiens, chats, fruits de mer, escargots etc. Ils comportent également des fruits sauvages, riches en vitamine C. Tous ces aliments sont très bénéfiques.

Avec l’arrivée de l’urbanisation, et le développement de l’industrie agro-alimentaire, la sagesse alimentaire a été mise à mal. Les produits de base ont été toujours plus raffinés (sucre, farine…), conditionnés à grand renfort de sel, sucre, glutamate et additifs plus ou moins toxiques.

Qui plus est, la télévision et les médias font la promotion sans relâche de ces produits, pour le bénéfice certain de l’industrie agro-alimentaire, et au mépris de la sagesse alimentaire. Cela a généré des changements importants dans les comportements alimentaires, y compris dans les pays pauvres. On assiste donc à une dégradation significative de la santé.

Renouer avec les aliments naturels

Par ailleurs, par pression sociale, certains pays se sont mis consommer trop de viande, de fruits de mer, d’œufs ainsi que d’autres aliments d’origine animales. Ces excès ont provoqué une augmentation des cholestérols voire des cancers.

Il est aujourd’hui crucial de revenir à la sagesse alimentaire. Pour contrer la propagande et le marketing agressif des vendeurs de junk-food, il est important que des figures influentes s’expriment publiquement pour rétablir l’équilibre. Internet peut aussi jouer un rôle précieux de réinformation.

Revenir à la sagesse alimentaire implique de comprendre que les intérêts mercantiles ne riment jamais avec l’altruisme et la santé des peuples. Il s’agit de renouer le plus possible avec les produits frais et naturels, si possible cultivés sans produits chimiques. Cela implique aussi de prendre le temps de les apprêter et de les cuisiner soi-même. De même pour ce qui concerne les bébés, il est primordial de privilégier le lait maternel et les produits locaux et naturels.

Les principes de la diététique chinoise

family meal

Les sagesses universelles nous enseignent à :

  • Consommer des aliments frais
  • Prendre ses repas à des heures régulières et en paix
  • Manger peu
  • Prendre le temps de manger et de mâcher
  • Consommer légumes et fruits frais et en grande quantité
  • Manger les produits d’origine animale avec modération
  • S’abstenir du sucre raffiné et de l’alcool
  • Bannir les aliments frits

Dix clés contre l’anxiété

Dix clés contre l’anxiété

 

Des solutions naturelles pour l’apaiser

Depuis la période Covid, de plus en plus de personnes souffrent de crises d’angoisse voire d’anxiété chronique. Nous vous proposons ici dix solutions et techniques efficaces pour faire face à ces émotions sans recourir aux médicaments chimiques.

1. Faire de l’exercice

Le premier remède pour lutter contre l’anxiété est la pratique d’une activité sportive. En effet l’activité physique a un effet antidépresseur et anti-anxiété. Il s’agit non seulement de marcher, mais de pratiquer une activité intense qui va faire travailler votre cœur et stimuler ainsi l’ensemble du métabolisme. Cela va automatiquement mobiliser votre attention suffisamment pour mettre au second plan vos angoisses et ruminations mentales.

Et plus vous allez repousser vos limites, plus vous augmenterez votre estime de vous. Qui plus est une pratique intense libère des endorphines, qui agissent de façon similaire à l’opium, générant un état de bien-être.

2. Respirer

Respirer lentement et profondément procure un effet apaisant. Vous pourrez trouver de nombreux exercices de respiration, notamment dans le Prânayama. Ils consistent toujours en une respiration consciente, abdominale et ample. On peut compter par exemple 4 durant l’inspir, conserver les poumons pleins pendant 7 secondes puis expirer sur 8 à 10 secondes, et ainsi de suite.

Cette respiration consciente va là encore mobiliser votre attention. Qui plus est le fait de ralentir le rythme respiratoire et de respirer par le ventre procure calme et sécurité intérieurs.

3. Se lancer des défis

S’imposer une routine difficile, voire désagréable au début, va renforcer la volonté et la détermination. En persistant et en progressant, le mental se renforce et la confiance en soi grandit. A chacun de choisir son défi. On peut par exemple décider de se lever tous les matins de bonne heure, alors qu’on préfèrerait rester au lit, pour aller marcher, courir, ou méditer.

On peut choisir d’expérimenter les douches ou bains glaçés. Cette pratique est très puissante pour renforcer le système immunitaire. Elle a également pour effet d’augmenter la sécrétion d’endorphines, source de plaisir et de bien-être.

Elle a donc à la fois un effet stimulant et relaxant. Qui plus est, le simple fait de réussir son défi renforce la confiance en soi. L’anxiété en sera automatiquement réduite.

4. Pratiquer des actions bienveillantes

En phase d’anxiété, on a tendance à se renfermer dans ses pensées qui tournent en boucle dans la tête. Du coup, on en oublie que le contact avec l’autre peut nous apporter de la joie et du réconfort. Porter attention aux autres, leur sourire, leur rendre des services : tous ces petits actes bienveillants sont contagieux et nous apportent en retour un mieux-être. L’anxiété diminuera, et l’amour et la bienveillance que nous aurons rayonnés nous reviendront en retour.

5. Méditer

La pratique de la méditation est de plus en plus populaire. En effet elle a des effets hautement bénéfiques sur le physique et le mental. Elle est particulièrement efficace pour nous apprendre à réguler nos émotions, et prendre de la distance avec nos pensées. Méditer, contrairement à la relaxation, n’est pas s’allonger sur son lit en écoutant une musique relaxante. Même si la relaxation peut s’avérer intéressante aussi.

La méditation se pratique en position de lotus, demi-lotus, ou en tailleur, la colonne verticale bien droite, les genoux au sol. Une fois bien positionné, il suffit de respirer profondément, de se détendre, d’accueillir ses émotions, d’observer ses pensées en les laissant passer comme on regarde passer un train.

Quelle que soit l’émotion qui vous submerge (anxiété, colère, ou peur), le pire est d’essayer de la combattre. Le plus efficace est de l’accueillir, de la ressentir physiquement, et de respirer. Elle s’atténuera alors avec le temps. Enfin pour être durablement bénéfique, la méditation requiert d’être pratiquée au moins une fois par jour, pendant au minimum 20 mn.

6. Pratiquer un art

La pratique d’un art apporte du plaisir, de la joie, et oblige, par la concentration qu’elle requiert, à mettre en veilleuse les pensées obsédantes, les soucis.

L’exigence que cette pratique requiert en phase d’apprentissage nous oblige à nous dépasser, et le fait de progresser dans un art augmente l’estime de soi.

Qui plus est, plus on le maîtrise, plus la pratique d’un art élève notre âme, nous procure plaisir et joie. Avec le temps, nous nous connectons alors automatiquement à des énergies subtiles de fréquence plus élevée.

Ceci augmente l’énergie de notre coeur. Et l’anxiété est forcée de battre en retraite !

7. Améliorer son hygiène de vie

Les personnes anxieuses on tout intérêt à porter une grande attention à leur diète, et à leur hygiène de vie en général.

La tentation en cas d’anxiété risque d’être de s’en distraire avec l’alcool, la cigarette, ou encore d’abuser du café. Si l’alcool peut temporairement nous faire oublier l’anxiété, il ne résout rien et risque même de l’augmenter une fois l’effet euphorisant retombé. Il est important également de s’accorder un temps de sommeil suffisant, de manger sainement et à heures régulières. Enfin, il est essentiel de passer du temps au contact de la nature, qui a un effet équilibrant sur l’ensemble de notre corps-mental.

8. Les huiles essentielles

L’huile essentielle (HE) de marjolaine à coquille, qui équilibre le système nerveux, est efficace pour lutter contre l’anxiété. On peut l’appliquer sur le plexus, creux situé au-dessus de l’estomac, point qui est le siège des émotions. C’est d’ailleurs là où l’on ressent une sensation d’oppression quand on est angoissé. Utilisation : verser 5 gouttes d’HE dans une cuillère à café d’huile végétale (calendula, amande douce…). On masse le plexus en cercles avec ce mélange pendant 2 à 3 minutes. On peut aussi utiliser la lavande qui a un effet apaisant.

9. Le qi gong

Directement liée à la médecine chinoise, la pratique du qi gong est une véritable mine d’or pour améliorer sa santé, physique comme mentale. Le qi gong consiste en des postures ou des enchainements de mouvements simples, à pratiquer lentement et en conscience.

Elle requiert de respirer profondément et de se relaxer, tout en étant à l’écoute de son corps. Le qi gong permet de faire circuler l’énergie vitale (ou qi) dans tout le corps, et ainsi d’équilibrer cette énergie tout en l’augmentant. On en ressort donc à la fois énergétisé et relaxé.

Cette pratique permet également de réguler nos émotions en diminuant leur impact. Vous devriez en ressentir rapidement des bénéfices, même si là encore, seule une pratique régulière permet d’en retirer un vrai impact sur la santé.

Il est conseillé d’apprendre le qi gong avec un maître en qi gong, qui pourra vous observer et vous guider. Car sous son apparente simplicité, le qi gong requiert un véritable apprentissage pour délivrer tous ces trésors.

10. L’acupuncture

Si vous souffrez d’anxiété chronique, ou de crises de panique, n’hésitez pas à faire appel à une aide extérieure pour démarrer votre processus de guérison. L’acupuncture est particulièrement efficace pour traiter l’anxiété. La médecine traditionnelle chinoise (MTC) est en effet une médecine holistique qui opère en rééquilibrant l’énergie globale de l’individu.

Elle traite donc non seulement le physique mais agit comme un régulateur sur les émotions. En effet en Médecine traditionnelle chinoise (MTC), dont fait partie l’acupuncture, chaque organe est lié à une émotion. Par exemple le foie est associé à la colère (ou la frustration), les reins à la peur, les poumons à la tristesse etc. L’anxiété est associée principalement à la rate (et estomac). En quelques séances vous devriez vous sentir beaucoup plus détendu, et moins anxieux. Cela vous apportera l’énergie suffisante pour pratiquer les techniques préconisées plus haut pour conserver cet état sur le long terme. 

Crise du Covid-19 et anxiété

Enfants avec masque

Depuis le début de l’épidémie Covid, les psychiatres ont assisté à une déferlante d’enfants et adolescents souffrant de troubles anxieux, de phobies diverses parmi lesquelles la peur d’étouffer. D’autres étaient dans un état anxio-dépressif, où la peur se mêlait à la culpabilité de transmettre le virus, ou à la peur de voir leurs parents mourir.

Cette période a laissé des séquelles durables, notamment chez les enfants et adolescents.

Côté adultes, ce n’est pas mieux, avec la précarisation de nombreuses situations professionnelles, la peur de perdre son emploi…

Bref, l’anxiété ne s’est jamais aussi bien portée ! Qui plus est, toutes les mesures prises durant cette crise, du port du masque au confinement, allaient toutes à l’encontre des solutions contre l’anxiété comme vous pouvez le voir dans cet article.

Yǎngshēng : nourrir la vie

Yǎngshēng : nourrir la vie

Des techniques pour préserver la santé

« Nourrir  la vie » c’est la traduction littérale de Yǎngshēng, cette branche méconnue de la Médecine traditionnelle chinoise (MTC). Pourtant Yǎngshēng y tient une place essentielle. C’est un ensemble de méthodes et recommandations pour préserver la santé et augmenter la longévité.

Car cultiver la santé est le but premier de la MTC qui considère la santé et non la maladie. De fait, Yǎngshēng est aujourd’hui encore enseigné dans les Ecoles de médecine chinoise. Le Su Wen dit : «Attendre d’être malade avant de se soigner, c’est comme attendre d’avoir soif avant de creuser un puits, ou attendre que la guerre soit déclarée pour forger les armes. N’est ce pas bien tard? »

Vivre en harmonie avec son environnement

« Nourrir la vie. » L’expression en elle-même est inspirante ! Elle nous invite à nous rapprocher de la Nature et à en respecter les rythmes et règles. Comprendre l’essence de Yǎngshēng nous éclaire sur comment transformer notre quotidien pour vivre en meilleure santé… et plus heureux.

C’est à la portée de chacun a condition de faire le premier pas ! Cela peut commencer par réduire sa consommation de sucre et d’alcool, se mettre à pratiquer un art, ou une activité comme l’escalade, la boxe, la danse, la méditation, passer du temps dans la nature… la liste est infinie. Explorons donc les pistes que nous propose Yǎngshēng.

La santé résulte de l’équilibre et de l’harmonie. L’homme ne peut être en bonne santé que s’il vit en harmonie avec son environnement, et dans le respect des cycles de la Nature. Cela inclut d’aller dans le sens naturel de la vie, ou en d’autres termes « dans le sens du courant ».

Qui dit harmonie dit modération. Yǎngshēng recommande ainsi de bannir les excès dans tous les domaines de la vie : nourriture, sexualité, émotions etc.

Un excès d’activité peut être aussi nuisible qu’un excès de sédentarité. L’harmonie, et donc la santé, se trouve dans un juste équilibre.

La recherche de l’équilibre

Yǎngshēng propose des techniques qui couvrent tous les âges de la vie, de la naissance à la mort. Cela inclut :

  • Améliorer sa diète
  • Faire du sport régulièrement
  • Pratiquer un art
  • Gérer son repos
  • Améliorer qualitativement sa vie sexuelle
  • Méditer

En effet, quand l’esprit est calme et clair, la maladie ne peut pas entrer. « Un homme en paix ne tombera pas malade » dit un vieux dicton chinois.
 

Yǎngshēng accorde une importance particulière à l’adaptation aux saisons. Par exemple, au printemps, il est recommandé de se lever plus tôt, quand les jours sont plus longs, et de faire davantage d’exercice au lever. A l’opposé, l’on devrait passer plus de temps à dormir en hiver, quand les nuits sont plus longues. Cette adaptation aux saisons inclut bien-entendu la diète. Au printemps, qui correspond en médecine chinoise à l’organe du foie, l’on devrait favoriser les aliments qui soutiennent le foie, voire pratiquer des jeûnes.

Respirer

La respiration est à la source de la vie. Elle commence avec le premier cri du nouveau né s’arrête avec le dernier souffle. Or, si le bébé respire naturellement en gonflant le ventre, en grandissant , il limite sa respiration du nez jusqu’au niveau du diaphragme !

Or une respiration ample et profonde est essentielle à la vie. Plus nous respirons consciemment, plus nous bénéficions des bienfaits de la respiration. Le simple fait de respirer pleinement nous permet d’être plus détendu, de mieux nourrir nos organes, et de vivre plus sereinement nos émotions. Des techniques comme le Prānāyāma aident à développer une respiration pleine et consciente.

Bien se nourrir

cuisine santé

Comme pour le philosophe et médecin grec Hippocrate, la diététique est la première des disciplines de la médecine chinoise.

On ne peut espérer être en bonne santé si l’on mange les produits transformés offerts par l’industrie agro-alimentaire. Au Cambodge, par exemple, l’apport massif de sucre blanc et de glutamate dans la nourriture est rentrée dans les mœurs, et tue des millier de personnes tout simplement !

Il faut donc privilégier les produits non raffinés, limiter la consommation de viande, et consommer davantage de fruits et légumes et moins de féculents.

Il convient de choisir des produits de saison, fraîchement récoltés, et qui ont poussé naturellement. Enfin, il est important de les préparer avec amour… et de les consommer tranquilement avec plaisir !

Contrôler le corps et l’esprit

La vie, c’est le mouvement, selon la philosophie taoïste. L’exercice physique est donc préconisé. Il doit être adapté à l’âge, et à la saison. La pratique du Qi gong est l’une des voies royales pour cultiver l’esprit et le corps, avec le tàijíquán, la méditation, le yoga etc.

Le Qi gong consiste en une série de postures et de mouvements lents qui permettent d’assouplir les articulations et de restaurer un flux harmonieux de qì – ou énergie vitale – dans l’ensemble du corps. La pratique régulière du qi gong permet d’accroître ce qì et d’en maitriser la circulation. Le qi gong est basé sur la respiration consciente, la relaxation, la posture, et la visualisation. Il est en soi une pratique d’auto-traitement extrêmement puissante. Il permet de calmer l’esprit et de mieux réguler nos émotions.

En effet les désordres émotionnels, le stress, sont des facteurs majeurs de maladie, tout particulièrement dans notre monde contemporain qui a rompu cette harmonie avec la Nature. Or Yǎngshēng préconise de prendre soin de nos pensées et de nos émotions. Cela nous permet de cultiver des relations harmonieuses avec nos semblables, condition essentielle à la santé, à la longévité… et au bonheur !

Des bénéfices d’une valeur inestimable

Couple heureux

N’attendez pas pour pratiquer le Yǎngshēng et jouir de ses bienfaits :

  • Une meilleure immunité, donc une meilleure santé
  • Une confiance en soi accrue
  • Une augmentation de la créativité
  • Un meilleur équilibre émotionnel
  • Un esprit plus clair
  • Plus de vitalité
  • Plus de joie de vivre

Vous pouvez d’ores et déjà commencer par les trois points suivants :

1. Faire 3 fois par semaine au minimum une heure d’exercices dont des exercices cardio
2. Eliminer le sucre (l’alcool), réduire le sel, remplacer les snacks par des fruits
3. Dormir au minimum six heures entre 22 :00 et 6 :00, heures qui permettent une récupération optimale.