Médecin traditionnel

Médecin traditionnel

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Attitude, compétences et préparation

À l’ère de la médecine ultra-technologique et des avancées en intelligence artificielle, le rôle du médecin traditionnel reste plus que jamais essentiel. En 2025, ces praticiens puisent dans les savoirs ancestraux, les combinant parfois avec des approches modernes. Mais ils restent avant tout des guérisseurs holistiques.

La préparation du médecin traditionnel, qu’elle soit mentale, physique ou spirituelle, est la clé de son efficacité et de sa relation d’aide avec son patient. Elle constitue une forme d’éthique personnelle.

Une attitude fondée sur l’écoute et l’humilité

Le médecin traditionnel n’est pas un simple technicien de la santé. Il est avant tout un guide, un conseiller et parfois même un confident. Son rôle dépasse la simple prescription de remèdes naturels. Il s’attache à adopter une attitude faite de :

  • Une écoute active : il prend le temps d’accueillir et de comprendre le patient dans sa globalité (histoire personnelle, émotions, environnement).
  • Humilité : il reconnaît les limites de son savoir et reste ouvert aux nouvelles découvertes, sans se laisser enfermer dans une pensée rigide.
  • Une énergie bienveillante : son attitude doit rassurer, apaiser et inspirer la confiance, de sorte que son patient croie en sa capacité de guérison. Un véritable médecin traditionnel irradie une sérénité qui participe déjà à la guérison.

Compétences : entre savoir ancestral et modernité

En 2025, le médecin traditionnel doit posséder un large éventail de connaissances, bien au-delà des simples plantes médicinales.

magnétiseur
  • Maîtrise des médecines naturelles : phytothérapie, aromathérapie, acupuncture, massages thérapeutiques, nutrition holistique.
  • Connaissances en énergétique : travail sur les méridiens, harmonisation des chakras, magnétisme et soin par les fréquences vibratoires.
  • Capacité d’analyse du corps humain : lecture du pouls, observation de la langue, palpation, diagnostic basé sur les signes visibles et invisibles.
  • Psychologie et accompagnement spirituel : il comprend l’importance des émotions, du mental et de la dimension spirituelle dans la guérison et sait guider le patient vers un équilibre intérieur.

Une préparation mentale rigoureuse

Un bon médecin traditionnel ne soigne pas seulement les autres : il doit d’abord être en harmonie avec lui-même. Sa préparation mentale repose sur plusieurs piliers :

  • Méditation quotidienne : pour maintenir un esprit clair et une intuition aiguisée.
  • Pratiques énergétiques : Tai Chi, Qi Gong ou yoga pour renforcer son propre équilibre vibratoire.
  • Développement de l’intuition : travail avec la nature, les rêves, les ressentis subtils.
  • Gestion du stress : techniques de respiration, rituels de purification (encens, bains énergétiques, jeûne spirituel).

En effet, un esprit apaisé permet au thérapeute de percevoir les déséquilibres chez autrui et de transmettre une énergie curative. De fait, plus sa fréquence vibratoire sera élevée, plus l’aide qu’il apportera à son patient sera puissante.

Un corps fort et équilibré

Un médecin traditionnel est un exemple vivant de santé. Son mode de vie doit être aligné avec les principes qu’il enseigne à ses patients :

  • Alimentation naturelle et vivante : il privilégie les aliments non transformés, riches en nutriments et adaptés aux saisons.
  • Exercice physique régulier : arts martiaux, marche en pleine nature, natation, tout ce qui renforce le corps sans l’épuiser.
  • Repos et cycles naturels : il respecte son horloge biologique et évite les excès.
  • Rituels de purification : sauna, bains aux plantes, pratiques de sudation pour éliminer les toxines si besoin.

Un environnement sain et connecté à la Nature

Contrairement à la médecine occidentale, qui s’exerce souvent dans un cadre stérile, voire froid, le médecin traditionnel sait que l’environnement joue un rôle essentiel dans la guérison. Il privilégie :

  • Un cadre de consultation chaleureux avec lumière naturelle, et proche de la nature quand c’est possible.
  • L’utilisation d’éléments naturels dans ses traitements : eau de source, argile, huiles essentielles, sons et vibrations.
  • Le contact avec les cycles lunaires et solaires pour optimiser ses soins.
massage aux bols tibétains

Un médecin du futur au service des savoirs du passé

En 2025, le médecin traditionnel est un pont entre les connaissances anciennes et les réalités du monde moderne. Il ne rejette pas nécessairement les technologies, mais il privilégie une approche humaine, préventive et naturelle. Sa force réside dans sa préparation mentale et physique, qui lui permet d’être un soignant aligné et efficace.

En 2025, le médecin traditionnel est un pont entre les connaissances anciennes et les réalités du monde moderne. Il ne rejette pas nécessairement les technologies, mais il privilégie une approche humaine, préventive et naturelle. Sa force réside dans sa préparation mentale et physique, qui lui permet d’être un soignant aligné et efficace.

C’est par son propre équilibre intérieur qu’il peut transmettre à ses patients les conditions d’une véritable guérison.

Le serment du médecin

Hipocrate

De nombreux médecins de la médecine occidentale prêtent aujourd’hui encore serment sur une adaptation du serment d’Hippocrate, la Déclaration de Genève (1946), texte régulièrement actualisé.

Il est intéressant de voir qu’on y trouve cet engagement du médecin à prendre soin de sa propre santé, notion qui ne figurait pas dans le serment d’Hippocrate :« Je veillerai à ma propre santé, à mon bien-être et au maintien de ma formation afin de prodiguer des soins irréprochables ».

Serment du médecin ou Déclaration de Genève

« En qualité de membre de la profession médicale,

Je prends l’engagement solennel de consacrer ma vie au service de l’humanité;

Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité;

Je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient;

Je veillerai au plus grand respect de la vie humaine;

Je ne permettrai pas que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient;

Je respecterai les secrets qui me seront confiés, même après la mort de mon patient;

J’exercerai ma profession avec conscience et dignité, dans le respect des bonnes pratiques médicales;

Je perpétuerai l’honneur et les nobles traditions de la profession médicale;

Je témoignerai à mes professeurs, à mes collègues et à mes étudiants le respect et la reconnaissance qui leur sont dus;

Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé;

Je veillerai à ma propre santé, à mon bien-être et au maintien de ma formation afin de prodiguer des soins irréprochables;

Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte;

Je fais ces promesses sur mon honneur, solennellement, librement.»

Aliments et couleurs

Aliments et couleurs

Une diète équilibrée grâce aux couleurs

La couleur a toujours joué un rôle important dans la vie des humains. En effet, les couleurs ont un impact sur notre corps et notre esprit par la vibration qu’elles émanent. « Chaque couleur excite une disposition particulière dans l’âme «  écrivait Goethe.

Certaines sont connues pour stimuler, favoriser la créativité, comme le bleu. D’autres ont des vertus apaisantes. Les architectes d’intérieur, comme les maîtres en Feng Shui, en jouent pour concevoir leurs espaces de vie.

En matière d’alimentation, les couleurs ont aussi leur mot à dire. En effet, celles-ci ne jouent pas seulement un rôle esthétique. Elles révèlent des propriétés nutritives et énergétiques qui influencent notre santé physique et mentale, et donc notre bien-être.

La Médecine traditionnelle chinoise a pris en compte les couleurs dans sa diététique. Récemment, la phytochimie a elle aussi exploré la composition des différents pigments naturels qui colorent nos fruits et légumes. Et elle en démontre l’intérêt nutritifs.  L’étude de ces deux approches prouve l’intérêt de mettre davantage de couleurs dans nos assiettes.

L’approche de la MTC

La diététique selon la médecine chinoise s’est depuis toujours intéressée aux couleurs, au même titre qu’aux saveurs, aux textures des aliments, etc. Elle a classifié les aliments par couleur selon la théorie des Cinq éléments. Ainsi chaque couleur est associée à une saison, et à deux organes.

Vert – Bois (Printemps)

    • Organes : Foie et vésicule biliaire
    • Le vert est associé à la croissance, au renouveau et à l’énergie ascendante. Ainsi, les légumes verts comme les épinards, le brocoli ou le chou kale soutiennent le foie en détoxifiant l’organisme et en stimulant la circulation.

Rouge – Feu (Été)

  • Organes : Cœur et intestin grêle
  • Le rouge symbolise la chaleur et la vitalité. Les aliments rouges, comme les tomates, les fraises ou les poivrons rouges, renforcent le cœur et favorisent la circulation sanguine. Ils apportent également une énergie dynamisante.

Jaune –  Terre (Fin de l’été)

    • Organes : Rate et estomac
    • Les aliments jaunes (courges, maïs, patate douce) stimulent la digestion et soutiennent l’énergie de la rate, qui est considérée comme la source principale de l’énergie vitale en MTC.

Blanc – Métal (Automne)

    • Organes : Poumons et gros intestin
    • Le blanc est associé à la pureté et au raffinement. Les aliments blancs, comme les navets, l’ail ou le chou-fleur, renforcent le système immunitaire et soutiennent les poumons.

Noir ou violet – Élément Eau (Hiver)

    • Organes : Reins et vessie
    • Le noir représente la profondeur et le repos. Les aliments noirs, comme les haricots noirs, les champignons noirs ou le sésame noir, nourrissent les reins et favorisent la régénération.

Cette approche énergétique des couleurs permet de choisir des aliments en fonction des rythmes saisonniers et des besoins internes du corps.

L’approche phytochimique

Les couleurs vibrantes des fruits et légumes sont dues à des pigments naturels, qui sont également des composés bioactifs aux propriétés bénéfiques pour la santé. Il est intéressant de noter que, comme avec la MTC, ils ne sont pas là seulement pour faire joli. Voici quelques grandes familles de pigments ainsi que leurs effets sur notre santé.

  • Les caroténoïdes (rouge, orange, jaune) : Présents dans les carottes, les potirons, les mangues, etc., ils sont riches en antioxydants et contribuent à la santé oculaire et immunitaire.
  • Les flavonoïdes (bleu, violet, jaune) : Abondants dans les myrtilles, les raisins, les aubergines, les agrumes etc., ils ont des propriétés anti-inflammatoires ; ils renforcent les vaisseaux sanguins et protègent contre le vieillissement précoce.
  • La chlorophylle (vert) : Présente dans les légumes verts à feuilles, elle favorise la détoxification et la santé du sang.
  • Le lycopène (rouge) : Présent dans les tomates, les pastèques, les pamplemousses roses. Ce puissant antioxydant est reconnu pour ses propriétés protectrices contre les maladies cardiovasculaires et certains cancers, notamment celui de la prostate.
  • Les anthocyanines (bleu, violet, rouge foncé) : Présents dans les myrtilles, raisins noirs, aubergines, ces pigments hydrosolubles préviennent les maladies neurodégénératives et favorisent une meilleure santé cognitive. Ils ont également des propriétés anti-inflammatoires.

Il est intéressant de constater que ces deux approches, aussi éloignées qu’elles soient, convergent vers un constat commun. Porter davantage attention aux couleurs dans la composition de nos repas nous assure un apport optimal en nutriments. Ce faisant l’équilibre général de notre organisme est amélioré.

Les couleurs apportent ainsi d’un large éventail de bienfaits pour notre santé et notre équilibre. Qui plus est ces couleurs, par leur impact visuel, ont aussi la vertu de nous mettre en appétit et de réjouir nos sens.

Les cinq couleurs de la MTC

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La médecine holistique

La médecine holistique

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Une approche globale corps-esprit

La médecine holistique regroupe toutes les approches de soins qui s’intéressent à l’individu dans sa globalité. Le terme « holistique » vient en effet du grec « holos » qui signifie « tout » et « entier ».

Cette médecine ne s’arrête pas aux simples symptômes ou maladies. Son diagnostic s’intéresse aux différentes facettes qui font l’individu : son corps, ses émotions, son psychisme, son environnement etc.

En, effet elle considère que l’on ne peut soigner efficacement un individu sans prendre en compte l’ensemble des facteurs qui l’influencent, ce qui inclut aussi son histoire, son environnement, la qualité de ses relations…

La médecine holistique recherche la cause profonde des troubles observés.

Les médecines antiques

Si l’on remonte le cours du temps, et que l’on se penche sur les médecines antiques, on y retrouve cet aspect holistique. En effet, la dimension spirituelle de l’être humain y joue un rôle essentiel. Et le rapport à un Dieu ou à des divinités est alors incontournable pour soigner.

Dans la très haute Antiquité, les premières pratiques médicales sont relatives à la sphère sacerdotale. Les rituels religieux, voire magiques, forment l’essentiel des aspects thérapeutiques dans les sociétés les plus anciennes.

On trouve bien-entendu l’usage des plantes médicinales dans toutes les cultures traditionnelles. Des sources écrites et des représentations iconographiques évoquent des soignants qui sont souvent à la fois prêtres, chamans et médecins. Ils sont des figures aux multiples facettes.

 Les médecines traditionnelles

médecine tibétaine
De nombreuses médecines traditionnelles ont perduré à travers les âges. Elles ont toutes en commun cette dimension holistique.

Citons notamment :

  • La médecine chinoise,
  • La médecine ayurvédique (Inde),
  • La médecine africaine,
  • La médecine amérindienne,
  • La médecine traditionnelle européenne (phytothérapie),
  • La médecine tibétaine,
  • La médecine traditionnelle japonaise (Kampo),
  • La médecine aborigène.
Ces médecines continuent d’être largement pratiquées dans le monde, certaines en complément de la médecine conventionnelle, d’autres en tant que système de soins principal. Elles reposent sur des savoirs ancestraux transmis de génération en génération.

Sans rentrer dans les spécificités de chacune de ces médecines, l’on y retrouve des notions communes :

  • L’harmonie entre l’homme, la nature, et les forces spirituelles,
  • L’usage des plantes médicinales,
  • L’importance de l’équilibre énergétique global.

En Europe, la naturopathie s’est construite au XIXème siècle en s’inspirant de ces médecines ancestrales.

« Au lieu de s’attacher aux symptômes du mal, la thérapie holistique traite l’humain sur six plans : le physique, l’émotionnel, le mental, le socioculturel, l’environnemental et spirituel », explique Daniel Kieffer, créateur du Collège Européen de Naturopathie Traditionnelle Holistique (CENATHO).

La prévention des maladies

Une médecine holistique englobe naturellement la prévention. En effet, même si elle peut « réparer », elle est là avant tout pour permettre au patient de retrouver un équilibre et rester en bonne santé.

En effet, la maladie est considérée comme le résultat d’une dysharmonie. Or, la capacité d’autoguérison du corps s’apparente à la recherche naturelle d’un équilibre. C’est un facteur clé dans la médecine holistique. D’ailleurs, c’est pourquoi s’attache en priorité à l’individu, et non à la maladie à proprement parler.

Cela implique que le médecin holistique joue également un rôle de conseiller. Ainsi, il guide son patient vers une hygiène de vie plus adaptée (alimentation, activité sportive, voire gestion des émotions…)

Enfin, dans une conception holistique de la santé, le patient ne délègue pas au médecin la responsabilité de sa santé. Il est au contraire invité et incité à la prendre en charge, et à en devenir le principal acteur.

Une écoute attentive

Une approche holistique se concentre donc sur le bien-être global de l’individu. C’est pourquoi le thérapeute porte une écoute sensible à son patient afin de l’entendre au-delà des maux qu’il verbalise.

Cette qualité d’écoute suppose une attitude attentive et bienveillante. Elle demande de prendre le temps qu’il faut. Grâce à quoi le thérapeute holistique crée une relation de confiance propice à la guérison.

Par ailleurs, la médecine holistique considère que chaque patient est unique. Même si deux patients peuvent souvent présenter des symptômes similaires, la cause profonde peut être entièrement différente pour chacun.

Des techniques naturelles

Les médecines holistiques englobent une grande variété d’outils de soins qui englobent bien-sûr :

  • la prescription de plantes sous diverses formes,
  • des techniques manuelles (massages énergétiques,  magnétisme),
  • l’acupuncture,
  • l’aromathérapie,
  • l’homéopathie etc.

Elles incluent aussi les recommandations concernant la diète, la qualité de l’environnement, la pratique du qi gong ou de la méditation, des techniques de respiration etc.

Elles utilisent des techniques 100 % naturelles et non invasives.

massage ayurvédique

Dans l’air du temps

Aujourd’hui, un nombre croissant de personnes se tournent vers ces médecines holistiques. Celles-ci sont dans l’air du temps.

On observe en effet un intérêt croissant pour une nourriture bio ou plus proche du terroir, pour la permaculture, ou d’autres types de culture écoresponsables. De plus en plus d’individus prennent en main leur santé en recourant à différentes pratiques comme le yoga, le sport, la méditation, le jeûne, l’utilisation d’huiles essentielles. Beaucoup retournent vivre à la campagne, et œuvrent dans le sens d’une autonomie énergétique et alimentaire.

Or, les médecines holistiques sont naturellement ancrées dans une tradition où la Nature est au centre. L’homme s’inscrit dans un écosystème dont il est interdépendant (climat, nourriture, qualité de l’air, de l’eau etc). Ainsi, ces médecines holistiques sont naturellement écologiques puisqu’elles visent à un meilleur équilibre entre l’homme et son environnement naturel, source de bonne santé.

Un habitat sain

On l’a vu, l’environnement du patient joue un rôle dans la santé du patient. L’habitat est un facteur d’autant plus important que c’est là que le patient passe du temps, dort, et se ressource.

C’est pourquoi la santé de nos maisons et lieux de vie a donné lieu à des disciplines qui sont des arts à part entière. Citons notamment le Feng shui et la géobiologie.

Le Feng Shui

Le Feng Shui est un art ancestral chinois qui vise à harmoniser les énergies d’un espace pour favoriser le bien-être, la prospérité et la santé de ses occupants. Il s’appuie sur les principes du Qi (énergie vitale), du yin et du yang, et des cinq éléments (bois, feu, terre, métal, eau). Le Feng Shui analyse l’agencement des pièces, la disposition des meubles et l’environnement extérieur.

Après une analyse très pointue, le maître en Feng shui pose une sorte de diagnostic et propose des ajustements. Ceux-ci visent à améliorer la circulation de l’énergie, à éviter les blocages énergétiques dans la maison, et à recherche un équilibre dans les différents aspects de la vie (amour, travail, santé, prospérité…). Cette discipline holistique considère l’habitat comme un reflet de l’équilibre intérieur

La géobiologie

La géobiologie est l’étude des influences de l’environnement sur le vivant. Cette discipline explore les rayonnements telluriques (cours d’eau souterrains, failles géologiques) ainsi que les énergies vibratoires émanant de la Terre. Elle étudie également l’impact des champs électromagnétiques artificiels générés par l’électricité, les ondes wifi et autres antennes situées à proximité de l’habitat.

Elle vise à détecter et neutraliser les zones nocives pour la santé, en s’appuyant sur des outils qui vont du pendule et de la baguette de sourcier à des détecteurs électroniques. Là encore, le géobiologue fera les corrections nécessaires pour rétablir un équilibre plus propice à la santé des habitants du lieu.